Festival International de Jazz de Montréal

 

Depuis ses débuts, le Festival démontre un profond respect des valeurs sociales et environnementales. Pionnier des actions écologiques en événementiel, il effectue, depuis plus de 20 ans, la récupération des matières résiduelles et a été l’un des premiers événements nord-américains d’envergure à être carboneutre, devenant une référence en matière de développement durable !

Parmi les mesures – engagements socio-économique :

  • Embauche de dizaines de raccrocheurs et de stagiaires, par Société développement social Ville-Marie. Les premiers sont affectés à l’entretien ménager et aux opérations. Provenant de Jeun’Est, les seconds vivent une expérience en technique de scène et production de spectacles ;
  • Personnes à mobilité réduite : prêt de chaises roulantes, zone réservée près de la scène principale, service d’accueil, suivi, transmission de plans par Internet ;
  • Planches à roulettes oubliées sur le site données à RecySkate, qui les récupère et distribue aux jeunes défavorisés ;
  • Don à la Maison du Père des objets trouvés non réclamés et de la nourriture non consommée préparée par le service alimentaire ;
  • Lunettes pour la vue non réclamées remises à un optométriste qui les réachemine en Haïti ;
  • Camp de blues : créé pour les musiciens d’ici, âgés de 13 à 17 ans, ce camp d’une semaine offre gratuitement une formation musicale de qualité, contournant la barrière des classes sociales pour ouvrir ses portes à tous.
  • L’aboutissement de ce stage : une prestation devant public au Festival !
  • JazzFest : permet à des musiciens d’institutions scolaires (secondaire à université) ou groupes communautaires amateurs de se produire au Festival. Ils doivent s’inscrire à Jazzde l’année tenu par JazzFest des jeunes du Québec, organisme permettant aux jeunes de vivre une expérience de scène et offrant des ateliers animés par des professionnels ;
  • Samajam : présentation d’un spectacle musical collectif créé dans le cadre du projet Persévérance scolaire Samajam, offrant gratuitement aux écoles un programme de formation en percussions, danse, musique et mise en scène ;
  • Présentation de la série Les envolées du Festival, consacrée aux étudiants universitaire ;
  • Le FIJM favorise le rayonnement du patrimoine musical en offrant des bourses et prix  : Grand Prix de Jazz TD : offert en soutien à la relève jazz canadienne. L’artiste primé remporte un trophée et une bourse de 5 000 $ et est invité au Festival l’année suivante. Il gagne aussi une participation aux Festi Jazz international de Rimouski et FestivalInternational de Jazz y Blues Zacatecas (Mexique), des heures d’enregistrement et une licence pour la fabrication et la distribution d’un album ;
  • Bourses du FIJM : en reconnaissance de l’excellence d’étudiants en jazz dans les universités montréalaises ;
  • Main-d’œuvre locale : embauche de personnel qualifié de Montréal, sans recours au bénévolat ;
  • Priorité aux fournisseurs locaux, en matière technique et alimentaire ;
  • 90 à 95 % des aliments vendus sont achetés à moins de 40 km de leur emplacement de distribution ;
  • Priorité à l’achat local pour les produits dérivés et à l’utilisation de matières écologiques, recyclables, durables ou biodégradables (64 % des achats reliés aux produits dérivés auprès de distributeurs ou manufacturiers locaux) ;
  • 84 % des achats de vêtements auprès de distributeurs ou manufacturiers locaux ;
  • 94 % des vêtements imprimés ou brodés localement ;
  • Sacs et accessoires à l’effigie du FIJM fabriqués de bannières publicitaires recyclées et offre de sacs écolos longue durée 100 % recyclables, vêtements écologiques (coton, teinture) et bouteilles d’eau réutilisables.

 

Pour le Grand Vivat :

  • Réduction à la source de toutes les matières utilisées.
  • Gestion serrée de la distribution des programmes.
  • Mise en place de stations de remplissage de bouteilles d’eau pour favoriser l’utilisation de contenants à usage multiple et don de bouteilles réutilisables par Naya aux employés.
  • Utilisation de contenants d’eau de 18 litres pour réduire la consommation de bouteilles d’eau individuelles et réutilisation de ces contenants en les remplissant sur place grâce à des filtres à eau sur les robinets.
  • Plus de 150 bacs de récupération sur le site de l’événement, ainsi qu’un bac par employé dans les bureaux.
  • Utilisation des plastiques nos 1 et 5 (plus facilement récupérables) depuis 2008, pour les verres des concessions alimentaires.
  • Récupération du bois (retourné à l’entrepôt).
  • Impression du programme sur du papier 100 % recyclé.
  • Affiches incitant au recyclage sur les lieux de l’événement.
  • Production de compost et utilisation de serviettes, verres et assiettes biodégradables en fécule de maïs par les concessions alimentaires.
  • Présence d’une Écho’Scouade pour conscientiser les festivaliers, commerçants et promoteurs aux comportements écoresponsables.
  • 70 préposés à l’entretien assurent la cueillette des matières.
  • Mise en ligne en 2012 d’un onglet sur la démarche de développement durable sur le site internet.
  • Comptabilisation des taux de récupération depuis 2002 et diffusion des pourcentages moyens sur le site internet.
  • De 90 à 95 % des aliments vendus sur le site sont achetés à moins de 40 km de leur emplacement de distribution.
  • Don à la Maison du Père de la nourriture non consommée préparée par le service alimentaire.
  • Pendant l’événement, le périmètre du Festival est carboneutre. Rio Tinto Alcan finance l’achat de crédits compensatoires pour permettre au Festival de neutraliser ses émissions de CO2, générées par la totalité des opérations.
  • Développé par le Festival avec le FAQDD et Planetair, l’outil de calcul des émissions de C02 est disponible gratuitement à tout événement désireux d’améliorer son dossier vert.
  • Utilisation exclusive de l’énergie hydroélectrique, pour tous les besoins en aménagement. Seules les génératrices d’urgence fonctionnent à l’essence.
  • Réduction de l’éclairage de nuit et de jour pour minimiser la consommation électrique.
  • Installation de supports à bicyclettes, dans une aire fermée et surveillée.
  • L’événement se déroule près de 2 métros et plusieurs lignes d’autobus.
  • Embauche de dizaines de raccrocheurs et stagiaires via la Société de développement social de Ville-Marie. Les premiers sont affectés à l’entretien et aux opérations. Provenant de Jeun’Est, les seconds vivent une expérience concrète en technique de scène et production de spectacles.
  • Personnes à mobilité réduite : prêt de chaises roulantes, zone réservée près de la scène principale, service d’accueil, suivi…
  • Les planches à roulettes oubliées qui n’ont pu être rendues à leurs propriétaires sont données à RecySkate, organisme récupérant les skateboards et les distribuant aux jeunes défavorisés.
  • Camp de blues d’une semaine gratuit pour musiciens de 13 à 17 ans.
  • Main-d’œuvre locale : Embauche de personnel qualifié de Montréal, sans recours au bénévolat.
  • Priorité aux fournisseurs locaux, en matière technique ou alimentaire.
  • 64 % des achats de produits dérivés sont faits auprès de distributeurs ou manufacturiers locaux.